mardi 23 novembre 2004

AsynCoffee

Pour se détendre à l'heure du déjeuner en pouvant honnêtement prétendre travailler, je vous propose la méditation du jour du père Goriot (oups pardon du père Gregor; celui-là même qui maintient le site Enterprise Integration Patterns et qui a rédigé le très bon livre éponyme)
Et non, vous ne rêvez pas, c'est bien des Starbucks Coffee Shops dont il s'agit (ces célèbres cafés américains où l'on s'arrête avant d'aller au boulot le matin pour acheter son "walking mug" of coffee à siroter sur le chemin).
Le sujet? Simple, il s'agit d'expliciter pourquoi ce type de boutique ne peut pas utiliser du 2-phases commit!

D'ailleurs, si vous voulez tenter l'expérience décrite dans l'article, vous pouvez vous rendre dans l'un d'entre eux (à La Défense, Montmartre, Montparnasse, Odéon, ... et bientôt à Vélizy II): mais attention, rien à voir avec un expresso italien ;-))

P.S.: pour les amateurs de la traçabilité, la niouse vient de TSS

mercredi 17 novembre 2004

Le renard met le feu, OpenSource et autres

Vous avez vu la couv' de 01 de cette semaine (12/11/2004)?
En plus du changement de format (plutôt cool d'ailleurs), c'est la tronche de mon panda rouge préféré depuis plusieurs années qui fait la une; j'ai nommé FIREFOX (eh, oui, ce n'est pas un renard, mais un panda; pour achever de vous en convaincre, un petit détour par votre WikiPédia favori [prenez note de la remarque de bas de page]).
Bon, vous me direz que Libé avait ouvert le bal la semaine passée (dès Mercredi) avec une accroche en une suivie d'une pleine page (page 6): cet article ("Firefox à l'abordage d'Internet Explorer") est accroché au-dessus de mon bureau!. Les autres ont suivi (Le Monde, ...)
On ne devrait d'ailleurs pas s'arrêter en si bon chemin: la fondation pour la diffusion de Firefox (Mozilla et autres) a récolté $250.000 de dons pour acheter (entre autres) une pleine page de pub du New York Times dans les prochains jours.
Firefox a presque doublé sa pénétration en qq mois; objectif: 10%. De toutes les manières, IE (et M$) ne luttent plus (mais cela ne laisse-t-il pas présager une nouveauté dans longtemps, oups pardon dans Longhhorn ;-))

Mais tout cela n'est qu'une expression singulière (tout comme Linux) de la vague de fond qu'est la diffusion de l'OpenSource dans les entrerpises. Toute la presse écrite s'en fait l'echo actuellement (qu'elle soit généraliste [Libé encore, ...] et spécialiste [impossible de lire 01 ou LMI sans des gros titres/dossiers sur le sujet]). Sans parler du Web, qui s'y était mis depuis longtemps, et les auteurs de livres qui ont découvert un filon (je me souviens du temps où il n'y avait qu'un seul livre en français sur le sujet...).
Finie l'époque idéologique; bienvenue dans un monde pragmatique. Et ce n'est pas l'avènement des conteneurs légers qui va atténuer la tendance.

Que n'ai-je réussi à faire pénétrer plus fortement, plus tôt, plus durablement, plus efficacement ces idées chez mon si cher précédent employeur?! Ce n'est malheureusement plus un facteur différenciateur: c'est devenu souvent une nécessité, rédhibitoire/éliminatoire dans bien des cas.

Aller, je vous laisse et retourne à mon Panda-Rouge (et aussi à mon Oiseau de Tonnerre dont je vous parlerai une prochaine fois)

vendredi 12 novembre 2004

Tester Linux plus facilement encore!

Bon on connaît tous les distrib de Linux qui s'installent facilement sur nos chers PC (et hop, voilou que j'écrase ma MBR avec Lilo ou Grub; pour la restaurer éventuellement, il faudra serrer les fesses en lançant sous DOS l'incantation "fdisk /MBR").
Ensuite, sont apparues les distros (chébran, le gars, non?) de type Live CD; parmi elles, la plus célèbre est bien sûr la Knoppix. Un CD dans le lecteur, un boot et hop un autre OS: sans intrusion ni scories sur votre précieux (et fragile!) système Windows. Avec bien sûr, détection du réseau, des périphériques (comme les disques USB) et read/write sur les partitions NTFS et FAT. Utiliser une telle distro est donc sympa pour faire ses premiers pas sous Linux sans risque mais aussi pour récupérer des data d'un plantage de Windows (si si, il parait que ce n'est pas une légende!).
Et bien, l'imagination fertile des développeurs va encore plus loin dans la convivialité: lancer linux depuis Windows lui-même. Avec la "DSL - Damn Small Linux" (rien à voir avec l'ADSL et autres xDSL of course! si ce n'est que l'ADSL est bien apprécié pour téléchargé la DSL ;-))), on télécharge 50Mo, on clique sur un .bat (et il faut bien reconnaître qu'il faut nécessairement être sous Windows pour subir cela!) et là, la magie d'un chargement de Linux apparaît dans une fenêtre Windows. Et les connaisseurs constateront tout de suite qu'il s'agit d'une adaptation de la Knoppix. Plus besoin de télécharger une image ISO, de la graver et de booter sur un CD pour toucher du doigt un véritable OS. Cool, non?
So, go ahead to DSL and give it a try.
P.S.: par soucis de complétude, il me faut signaler que Mandrake avait déjà montré la voie il y a quelque temps avec Drake4Win (enfin je crois que c'était le nom à l'époque): l'install de Mandrake étant présente sous forme de 2 fichiers sous Windows (un pour le swap et un autre comme image de l'install). Et donc pour virer Linux (avant de l'installer proprement en natif bien sûr!), hop un petit tour par la corbeille et le (mauvais) tour est joué. Finalement, tout cela ressemble un peu à une install sous VMWare, mais sans licence!

mardi 2 novembre 2004

Unicode explained (a link)

Using Unicode is good! (that's what we've all learned from different plateforms vendors, should they be Java-oriented or Microsoft-minded).
But what the mess with Unicode/UCS-2/UTF-8/ISO/UTF-16/... is!?
If you ever wandered around trying to catch the rationale of these without getting anything consistent, rush to this link.
It could save you time, especially when dealing with XML data coming from/going to different OSes, programming languages, software frameworks.